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29 avril 2024

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Saint Benoît Joseph

Écrit par :
Jean-Claude JUNIN

Date de parution :
16 avril 2024

Lieu :
éphéméride

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16 avril, Saint Benoît-Joseph Labre. Pèlerin, mendiant ( 1783)
Il est l'aîné d'une famille de quinze enfants d'un laboureur d'Amettes dans le nord de la France. Il passe sa jeunesse dans les champs avec son père et ses frères. Mais il rêve d'être moine pour ne vivre que de Dieu.
A 19 ans, il se présente dans plusieurs monastères de chartreux. L'un ne prend pas de novices à cause d'un incendie récent. Dans l'autre, on le trouve trop jeune. Admis à la chartreuse de Montreuil-sur-Mer, il n'est pas gardé à cause de sa santé trop fragile. A pied, il se rend à la Grande-Trappe de Soligny : il est toujours trop jeune. Il revient à Montreuil, c'est un nouvel échec. La Grande Trappe de Sept-Fons ne l'accepte pas non plus et le Père Abbé lui dit : "Dieu vous veut ailleurs."
Désormais c'est "ailleurs" qu'il vivra dans l'errance et le pèlerinage perpétuel. Il ne cherche plus à se fixer. Son monastère sera la route, son seul compagnon de prière sera Dieu seul. En sept ans, il parcourut près de 30.000 kilomètres d'un sanctuaire à l'autre, en Espagne, en Suisse, en Allemagne et jusqu'en Pologne, vivant dans le plus extrême dénuement, partageant avec les pauvres les soupes populaires et les humiliations, toujours en oraison et toujours patient. Les prêtres qui le confessent sont émerveillés par sa vie mystique et son humilité. Mais son lieu de prédilection, c'est Rome où il passe ses journées en prière dans les églises, logeant avec tant d'autres pauvres dans les ruines du Colisée, distribuant à de plus pauvres ce qu'on lui donne. Dans les rues, les gamins se moquent de lui. Il les entend et rend grâces à Dieu. Le mercredi saint 1783, on le ramasse mourant sur les marches d'une église.
Dès sa mort connue, les gamins et le peuple de Rome s'en vont par les rues de Rome en criant : "Le saint est mort !" Les miracles se multiplient sur son tombeau. Bénéficiant ainsi d'un culte précoce et populaire, il est un défi au matérialisme d'une société vouée à l'argent.
Il est le saint patron des sans-domicile fixe, des pauvres et des exclus.
Béatifié par Pie IX en 1860, il est canonisé par Léon XIII le 8 décembre 1883.

Source : nominis.cef.fr

16 avril, Saint Benoît-Joseph Labre. Pèlerin, mendiant ( 1783)
Il est l'aîné d'une famille de quinze enfants d'un laboureur d'Amettes dans le nord de la France. Il passe sa jeunesse dans les champs avec son père et ses frères. Mais il rêve d'être moine pour ne vivre que de Dieu.
A 19 ans, il se présente dans plusieurs monastères de chartreux. L'un ne prend pas de novices à cause d'un incendie récent. Dans l'autre, on le trouve trop jeune. Admis à la chartreuse de Montreuil-sur-Mer, il n'est pas gardé à cause de sa santé trop fragile. A pied, il se rend à la Grande-Trappe de Soligny : il est toujours trop jeune. Il revient à Montreuil, c'est un nouvel échec. La Grande Trappe de Sept-Fons ne l'accepte pas non plus et le Père Abbé lui dit : "Dieu vous veut ailleurs."
Désormais c'est "ailleurs" qu'il vivra dans l'errance et le pèlerinage perpétuel. Il ne cherche plus à se fixer. Son monastère sera la route, son seul compagnon de prière sera Dieu seul. En sept ans, il parcourut près de 30.000 kilomètres d'un sanctuaire à l'autre, en Espagne, en Suisse, en Allemagne et jusqu'en Pologne, vivant dans le plus extrême dénuement, partageant avec les pauvres les soupes populaires et les humiliations, toujours en oraison et toujours patient. Les prêtres qui le confessent sont émerveillés par sa vie mystique et son humilité. Mais son lieu de prédilection, c'est Rome où il passe ses journées en prière dans les églises, logeant avec tant d'autres pauvres dans les ruines du Colisée, distribuant à de plus pauvres ce qu'on lui donne. Dans les rues, les gamins se moquent de lui. Il les entend et rend grâces à Dieu. Le mercredi saint 1783, on le ramasse mourant sur les marches d'une église.
Dès sa mort connue, les gamins et le peuple de Rome s'en vont par les rues de Rome en criant : "Le saint est mort !" Les miracles se multiplient sur son tombeau. Bénéficiant ainsi d'un culte précoce et populaire, il est un défi au matérialisme d'une société vouée à l'argent.
Il est le saint patron des sans-domicile fixe, des pauvres et des exclus.
Béatifié par Pie IX en 1860, il est canonisé par Léon XIII le 8 décembre 1883.

Source : nominis.cef.fr

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16 avril est le 106e jour de l'année du calendrier grégorien, le 107e en cas d'année bissextile, il reste 259 jours avant la fin de l’année.

C'était généralement le 27eme jour du mois de germinal dans le calendrier républicain français, officiellement dénommé jour de l’anémone*.

Dicton : « Gelée à la Saint-Fructueux rend le vigneron malheureux. »

Célébrations Washington, D.C. : Emancipation Day, Journée de l'émancipation commémorant le décret que signa le président Abraham Lincoln en 1862 libérant les esclaves du District de Columbia..

 

* L'anémone des fleuristes (Anemone coronaria) est appréciée et sélectionnée par les horticulteurs pour ses fleurs aux couleurs vives, notamment sous le nom d'anémone de Caen et sa forme améliorée par l'agronomie, la tétranémone. Anémone vient du grec, souvent interprété comme un dérivé de anemos (courant de vent) qui signifierait « fille du vent », parce que le vent emporte ses graines plumeuses à de grandes distances.

16 avril est le 106e jour de l'année du calendrier grégorien, le 107e en cas d'année bissextile, il reste 259 jours avant la fin de l’année.

C'était généralement le 27eme jour du mois de germinal dans le calendrier républicain français, officiellement dénommé jour de l’anémone*.

Dicton : « Gelée à la Saint-Fructueux rend le vigneron malheureux. »

Célébrations Washington, D.C. : Emancipation Day, Journée de l'émancipation commémorant le décret que signa le président Abraham Lincoln en 1862 libérant les esclaves du District de Columbia..

 

* L'anémone des fleuristes (Anemone coronaria) est appréciée et sélectionnée par les horticulteurs pour ses fleurs aux couleurs vives, notamment sous le nom d'anémone de Caen et sa forme améliorée par l'agronomie, la tétranémone. Anémone vient du grec, souvent interprété comme un dérivé de anemos (courant de vent) qui signifierait « fille du vent », parce que le vent emporte ses graines plumeuses à de grandes distances.

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